Des chercheurs du MIT ont cherché à identifier le QI d’un groupe. Cette intelligence collective si précieuse en cellule de crise. Emile Servan Schreiber nous indique que le QI d’un groupe ne dépend pas des QI des personnes présentes, mais de la proportion de femmes dans le groupe.
Des chercheurs du MIT ont cherché à identifier le QI d’un groupe. Cette intelligence collective si précieuse en cellule de crise. Emile Servan Schreiber nous indique que le QI d’un groupe ne dépend pas des QI des personnes présentes, mais de la proportion de femmes dans le groupe.
Alors, nous, on s’est dit : « voilà, notre mission est d’ajouter un peu de QI dans l’intelligence collective de la cellule de crise… » Qu’on se le dise !!!! - Françoise et Emmanuelle